"S'il y a bien deux choses que je déteste, c'est la haine inconsidérée des habitants d'une nation étrangère basée sur des considérations stéréotypées et des présemptions raciales, et ces pauvres connards de Hollandais."
Goldmember dans Austin Powers 3 : Goldmember
Cette vague de violence gratuite, si elle eut lieu voici 30 ou 40 ans de celà, aurait sans aucun doute fait se revolter tous ces grabaitaires en devenir. Mais voilà, on nous sert des viols à 21 heures maintenant. Au moins, ça a le mérite d'être réaliste.
Que veux le spectateur ? De l'action. Du mouvement. Des armes qui tuent et des terroristes arabes (trouvez le pléonasme parmi ces deux propositions). Et surtout, des morts. Des morts tués par la main de l'assassin qu'il faut punir, du violeur qu'il faut castrer. De la pègre, de la drogue, de la prostitution, historie qu'ils aient quelque chose à se reprocher.
Et des victimes. Si possible, des enfants. Car les héros-flics, s'ils défendent la veuve et l'orphelin, en sont aussi privés dans leur famille. C'est ça qui les rend si hargneux. Eh oui. On affiche clairement la mort de leur fils ou fille. Même dans le titre. A votre avis, pourquoi une des séries policières les plus connues s'appelle les Ex-pères ?
Je ne parlerai pas de NCIS et autre 24 heures chrono, ramassis de propagande pro-étazuniennes sur fond de patriotisme. C'est pour ça que j'aime les films ou séries (bien plus rare pour les séries) où les assassins sont considérés en tant que tels. De vrais grands méchants, intelligents, déterminés. Ceux qu'on croit qu'ils se font boucler, mais à la fin, non, si, ah, si, et non.
C'est les meilleurs. Ainsi, dans le hit parade des vrais grands cruels, on a bien evidemment Dexter, Keyser Söze, Tyler Durden, Patrick Bateman, Bill le Boucher, Ben, Alex Delarge, Jack Torrance, et Hannibal Lecter. Cette liste est bien sûr non-exaustive.
J'dois bien admettre que j'ai un p'tit faible pour Patrick Bateman.
Goldmember dans Austin Powers 3 : Goldmember
J'ai envie de tuer, tiens. C'est malin. Des gens au hasard, comme ça, dans la rue. Sans considération. Sans connaissanec de la victime. L'équité la plus parfaite. Je serai les yeux bandés de la justice. Sa balance vous assassinera, et j'assassinerai la balance, parce-qu'on me dénonce pas impunément.
Cette vague de violence gratuite, si elle eut lieu voici 30 ou 40 ans de celà, aurait sans aucun doute fait se revolter tous ces grabaitaires en devenir. Mais voilà, on nous sert des viols à 21 heures maintenant. Au moins, ça a le mérite d'être réaliste.
Que veux le spectateur ? De l'action. Du mouvement. Des armes qui tuent et des terroristes arabes (trouvez le pléonasme parmi ces deux propositions). Et surtout, des morts. Des morts tués par la main de l'assassin qu'il faut punir, du violeur qu'il faut castrer. De la pègre, de la drogue, de la prostitution, historie qu'ils aient quelque chose à se reprocher.
Et des victimes. Si possible, des enfants. Car les héros-flics, s'ils défendent la veuve et l'orphelin, en sont aussi privés dans leur famille. C'est ça qui les rend si hargneux. Eh oui. On affiche clairement la mort de leur fils ou fille. Même dans le titre. A votre avis, pourquoi une des séries policières les plus connues s'appelle les Ex-pères ?
Je ne parlerai pas de NCIS et autre 24 heures chrono, ramassis de propagande pro-étazuniennes sur fond de patriotisme. C'est pour ça que j'aime les films ou séries (bien plus rare pour les séries) où les assassins sont considérés en tant que tels. De vrais grands méchants, intelligents, déterminés. Ceux qu'on croit qu'ils se font boucler, mais à la fin, non, si, ah, si, et non.
C'est les meilleurs. Ainsi, dans le hit parade des vrais grands cruels, on a bien evidemment Dexter, Keyser Söze, Tyler Durden, Patrick Bateman, Bill le Boucher, Ben, Alex Delarge, Jack Torrance, et Hannibal Lecter. Cette liste est bien sûr non-exaustive.
J'dois bien admettre que j'ai un p'tit faible pour Patrick Bateman.
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