La vie est une tragédie moderne.
Elle appartient à la plume d'un dramaturge sombre et machiavélique, noir de son habit et rouge de son écriture. C'est sans complaisance qu'il triture les Hommes sans jamais leur laisser de répit. Ses mots sont des effraiements, ses phrases des cris et ses procédés des hécatombes. Il écrit leur histoire sans jamais trembler et en connaît le dénouement, et agît en conséquence, et ne laisse pas apparaître de retournement de situation nulle part.
(On dirait une prière d'adolescents pseudo-satanistes, sur fond de cours de procédés littéraires mal appris. 10 Ave Maria et 3 Pater pour ce soir.)
Est-ce qu'un système économique fondé sur le profit matériel personnel et le mépris de l'altruisme, qui connaît une forte décroissance toutes les vingtaines d'années, élargissant chaque jour davantage depuis qu'il fut mis en place les inégalités sociales est-il fonctionnel ?
Tant que les plus riches continueront d'en profiter, oui. Quel joli mot, sur le papier, " liberalisme ". On y reconnaît la racine latine du mot libre, ça nous fait regarder l'horizon avec espoir. Sur le papier, c'est presque aussi beau que "communisme".
Mais ça n'a rien à voir. L'un crée des inégalités léagles, l'autre des totalitarismes assumés. Je suppose que l'idéal n'existe pas. Un monde libre, beau, honnête et responsable ne peut être effectif que dans la plus totale ignorance.
Aussi, j'envie les comateux, les mongoliens, les paralytiques, les sourds-muets aveugles, les abrutis, les ménagères de moins de 50 ans, les anarchistes, les liberalistes, les fans de Rambo, les adolescents, les enfants de moins de 6 mois et plus simplement tous les gens qui dorment en ce moment de ne plus ni vivre, ni tenter de se creuser les méninges pour savoir pourquoi ce monde est si détraqué.
On ne naît pas homme, on l'achète à bas prix suivant les indications du Dow Jones et l'indexation des cours évolutifs des valeurs des actions du marché pétrolier.
Elle appartient à la plume d'un dramaturge sombre et machiavélique, noir de son habit et rouge de son écriture. C'est sans complaisance qu'il triture les Hommes sans jamais leur laisser de répit. Ses mots sont des effraiements, ses phrases des cris et ses procédés des hécatombes. Il écrit leur histoire sans jamais trembler et en connaît le dénouement, et agît en conséquence, et ne laisse pas apparaître de retournement de situation nulle part.
(On dirait une prière d'adolescents pseudo-satanistes, sur fond de cours de procédés littéraires mal appris. 10 Ave Maria et 3 Pater pour ce soir.)
Est-ce qu'un système économique fondé sur le profit matériel personnel et le mépris de l'altruisme, qui connaît une forte décroissance toutes les vingtaines d'années, élargissant chaque jour davantage depuis qu'il fut mis en place les inégalités sociales est-il fonctionnel ?
Tant que les plus riches continueront d'en profiter, oui. Quel joli mot, sur le papier, " liberalisme ". On y reconnaît la racine latine du mot libre, ça nous fait regarder l'horizon avec espoir. Sur le papier, c'est presque aussi beau que "communisme".
Mais ça n'a rien à voir. L'un crée des inégalités léagles, l'autre des totalitarismes assumés. Je suppose que l'idéal n'existe pas. Un monde libre, beau, honnête et responsable ne peut être effectif que dans la plus totale ignorance.
Aussi, j'envie les comateux, les mongoliens, les paralytiques, les sourds-muets aveugles, les abrutis, les ménagères de moins de 50 ans, les anarchistes, les liberalistes, les fans de Rambo, les adolescents, les enfants de moins de 6 mois et plus simplement tous les gens qui dorment en ce moment de ne plus ni vivre, ni tenter de se creuser les méninges pour savoir pourquoi ce monde est si détraqué.
On ne naît pas homme, on l'achète à bas prix suivant les indications du Dow Jones et l'indexation des cours évolutifs des valeurs des actions du marché pétrolier.
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