C'est difficile de nos jours. Les temps sont durs. Y a pas qu'eux, dit l'obsédé.
Mais on peut se payer une bonne tranche de vie de temps en temps. Notemment avec de bons humoristes, et pas que bien de chez nous, suffit de fouiller un minimum dans le coin quebecois pour trouver des merveilles (je parle pas de Rousseau, il me saoule lui, 'spèce de Dubosc-like), notemment chez les Labrèche & CO.
L'humour, dans les relations humaines, ça doit être le plus dur et le plus simple. Et, il y a des maîtres en la matière. Bien entendu, je place la divinité du cynisme misanthrope (discipline que j'affectionne tout particulierement) en la personne du sieur Pierre Desproges. Une idole. Ce type est pas croyable. Il est pas croyable, parce-que à ma connaissance, c'est le seul humorise français (ma culture ne s'arrête qu'en France et au Québec, désolé) qui utilisait un tel lyrisme pour souligner la débilité du monde . Il suffit de lire les textes des spectacles ou des réquisitoires, voire des minutes de Monsieur Cyclopède, pour être en admiration devant ce monsieur.
Aujourd'hui, c'est plus pareil. Non pas que la qualité se soit abaissée, elle a changée de camp. Evidemment, la mode est au stand-up de Jamel et ses potes. Ce qui est marrant, avec ses comiques là, c'est que devant la pseudo-tolérance naîssante où l'on nous répète qu'il faut tous nous aimer en buvant du coca, si on n'aime pas N'Gyjol ou Phil Darwin, on est considéré comme bobo ou raciste. Ben, rien que pour ça, je dirai jamais que j'aime leur humour, même si ce n'est pas forcement vrai, mais que voulez-vous, il faut bien être en désaccord avec les gens.
Je suis forcé de dire le contraire de ce que les gens me disent, même (surtout ?) si je dois être en contraddiction avec mes idées.
Bon, pour faire bref, dans la catégorie "j'aime pas parce-que les autres aiment", je cite, en vrac : Gad Elmaleh, Dubosc, la bande à Jamel (mais pas Jamel en lui-même, quoique ces derniers temps il me saoule), Foresti et d'autres que j'y pense pas comme ça.
Evidemment, y a bien que j'aime vraiment, même (surtout ?) si c'est pas d'une grande finesse. faut savoir dire prout de temps en temps. Donc, les Gilles Detroit, Denis Marechal, Jean-Luc Lemoine, Christophe Aleveque, Gustave Parking (encore un grand, lui), Stephane Guillon, je suis très preneur.
"Marrant, marrant, comment ça marrant ? J'te fais rire, c'est ça ? J'te fais taper l'cul par terre ? J'suis un clown ? Mais, marrant, marrant, marrant comment ?"
(De mémoire, du film Les Affranchis, superbe scène de Joe Pesci)
Mais on peut se payer une bonne tranche de vie de temps en temps. Notemment avec de bons humoristes, et pas que bien de chez nous, suffit de fouiller un minimum dans le coin quebecois pour trouver des merveilles (je parle pas de Rousseau, il me saoule lui, 'spèce de Dubosc-like), notemment chez les Labrèche & CO.
L'humour, dans les relations humaines, ça doit être le plus dur et le plus simple. Et, il y a des maîtres en la matière. Bien entendu, je place la divinité du cynisme misanthrope (discipline que j'affectionne tout particulierement) en la personne du sieur Pierre Desproges. Une idole. Ce type est pas croyable. Il est pas croyable, parce-que à ma connaissance, c'est le seul humorise français (ma culture ne s'arrête qu'en France et au Québec, désolé) qui utilisait un tel lyrisme pour souligner la débilité du monde . Il suffit de lire les textes des spectacles ou des réquisitoires, voire des minutes de Monsieur Cyclopède, pour être en admiration devant ce monsieur.
Aujourd'hui, c'est plus pareil. Non pas que la qualité se soit abaissée, elle a changée de camp. Evidemment, la mode est au stand-up de Jamel et ses potes. Ce qui est marrant, avec ses comiques là, c'est que devant la pseudo-tolérance naîssante où l'on nous répète qu'il faut tous nous aimer en buvant du coca, si on n'aime pas N'Gyjol ou Phil Darwin, on est considéré comme bobo ou raciste. Ben, rien que pour ça, je dirai jamais que j'aime leur humour, même si ce n'est pas forcement vrai, mais que voulez-vous, il faut bien être en désaccord avec les gens.
Je suis forcé de dire le contraire de ce que les gens me disent, même (surtout ?) si je dois être en contraddiction avec mes idées.
Bon, pour faire bref, dans la catégorie "j'aime pas parce-que les autres aiment", je cite, en vrac : Gad Elmaleh, Dubosc, la bande à Jamel (mais pas Jamel en lui-même, quoique ces derniers temps il me saoule), Foresti et d'autres que j'y pense pas comme ça.
Evidemment, y a bien que j'aime vraiment, même (surtout ?) si c'est pas d'une grande finesse. faut savoir dire prout de temps en temps. Donc, les Gilles Detroit, Denis Marechal, Jean-Luc Lemoine, Christophe Aleveque, Gustave Parking (encore un grand, lui), Stephane Guillon, je suis très preneur.
"Marrant, marrant, comment ça marrant ? J'te fais rire, c'est ça ? J'te fais taper l'cul par terre ? J'suis un clown ? Mais, marrant, marrant, marrant comment ?"
(De mémoire, du film Les Affranchis, superbe scène de Joe Pesci)
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